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Le début d'un tout, la fin de tous [FB] [EC]

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Firo Balzano
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Firo Balzano

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MessageSujet: Le début d'un tout, la fin de tous [FB] [EC] Le début d'un tout, la fin de tous [FB] [EC] Icon_minitimeJeu 14 Juin - 19:33




Le rendez-vous




7 Novembre 19xx :

PS: cette histoire se déroule lorsque mon personnage a entre 19 et 21 ans.
Le texte de cette couleur : focalisation interne
Le texte de cette couleur : focalisation externe




Mesdames et messieurs, voici pour vous une animation des plus réaliste jamais conçu dans notre merveilleux pays, l'Amérique !

Voici l'accroche qu'avait Nathan lorsque je devais passer devant un public d'une cinquantaine de personne pour décrire la grande guerre que le pays venait de gagner. C'était pas vraiment compliqué, je devais donner l'impression que les personnages en plastique sur un plateau un peu penché vers les spectateurs étaient vivants. Je ne me trouvais qu'à quelques mètres de la plateforme, entouré de spectateur. L'illusion n'était pas parfaite, mais comme ils se trouvaient à environ trois ou quatre mètres, je pouvais me donner une marge. Tout le monde en avait pour son argent. Ce travail convenait à un homme normal qui n'a besoin d'argent que pour vivre seul, mais moi, j'avais ma famille à faire vivre.

À cette époque je jonglais avec plusieurs petits boulots, dont celui-ci, le mardi et le jeudi matin de dix heures à midi. Les autres étaient beaucoup plus aléatoires dans les dates et les horaires. Je variais entre cambriolages, vol à la tire, transport d'objet ou d'humain. Des trafics de matières illicites ou tout simplement des surveillances ou protéger des VIP.

Bravo, m'a t'il dit.

Cet homme que je n'avais pas vu depuis des lustres, plus d'un an, je crois. Je sortais de ma présentation un mardi et il devait être midi et demi. Il m'attendait non loin de la 'sortie des artistes'. Il avait pris un coup de vieux et une balafre au visage. Un coup de couteau qui aurait pu le tuer s'il avait eu la malchance de tomber sur un ennemi qui n'était pas bourré.

Tu es vivant, vieux ? Lui dis-je.
Et bien, autant que toi. Et j'ai un travail pour toi.
Quel genre de boulot ?
Et bien, mon ami. Le seul boulot pour lequel tu semble fait. Un travail d'homme. Et c'est peu dire si tu en as besoin. À moins que tu veux faire fureur sur les planches toute ta vie ?

C'est comme ça que j'ai trouvé ce travail...

On avait rendez-vous le soir-même dans un grand restaurant de Manhattan. Un grand standing et des serveurs qui gagnaient deux fois plus par mois que ce que je touchais en un an. L'homme qui m'avait rendu visite plus tôt dans la journée était là, m'attendant. Ses cheveux bouclés contrastaient généreusement avec son costume. La première fois que je l'avais rencontré, c'était pour une expédition punitive dans un quartier nommé Harlem. On avait pour objectif de montrer l'exemple en tuant tout ce qui nous passait sous la main. En une nuit, j'ai tué plus de personnes que j'en avais tué auparavant. C'était éprouvant. L'homme qui était avec moi, Reaver, ne se battait qu'avec des armes à distance, du genre fusil ou pistolet. Je me rappelle que ce jour-là, il avait une carabine Winchester.

Le travail, c'est le travail, m'avait il dit...

Et c'était ce genre de travail que j'aurais certainement à faire encore pour gagner de l'argent. Pour nourrir ma famille. Une nouvelle fois, j'ai du tuer pour vivre, comme la loi du plus fort, une loi qui n'existe plus dans la société depuis bien longtemps. Nous sommes donc rentrés dans le restaurant, sur notre trente et un. Le maitre d'hôtel nous conduisit à la table qu'on nous avait réservé. Elle se trouvait dans une salle spéciale, je crois que toutes les tables étaient comme ça dans cet établissement. Il y avait déjà plusieurs personnes assises et même debout, des gardes du corps sans doute.

Assis, il y avait le commanditaire et deux autres hommes. J'en connaissais déjà un, celui de droite. C'était lui qui nous avait donné l'ordre d'attaquer Harlem, je m'en souviendrais toujours, un homme sadique et très puissant dans le monde de la mafia de New York. Maintenant, c'était sur, ça sentait l'embrouille.

Monsieur Balvano, monsieur Calonne ici présent dit que vous êtes le meilleur dans votre domaine, la magie.
Et bien, monsieur dont je ne connais pas le nom, c'est surement qu'il ne connait pas grand monde... Un wisky, s'il vous plait.

Un silence impérial s'était créé sur mes mots. Comme ça, ils ont du comprendre que je le connaissais bel et bien et surtout que je ne l'appréciais pas autant qu'il avait dû leur faire entendre.

Dites moi, monsieur...
Kazemaru.
Monsieur Kazemaru, quel est l'objet de notre venue ?
Une certaine entreprise nous a dérobé un plan pour créer un appareil révolutionnaire et nous voudrons le récupérer. Assez rapidement, avant qu'ils ne puissent acquérir quelconques droits sur notre oeuvre, vous comprenez ? Pour trois cents billets, avant la récupération et trois cents autres après, nous vous demandons de récupérer les plans et de détruire toutes les preuves de leur possession de ces même plans....
Cinq !
Quoi ?
Cinq cents dollars ! Pour mon associé et moi. Puis encore cinq cents le travail terminé ! Vous nous demandez de voler un objet dans une grande entreprise qui sait surement qu'elle va être attaquer. Ne nous prenez pas pour des débutants, monsieur Kazemaru.

Le temps de me retourner que le serveur passait.
Un autre wisky ...











Le début d'un tout


Nuit du 9 Novembre 19xx :




Seize. Seize heures d'avion et nous sommes arrivés tous les trois à Genève. On avait la même équipe d'antan. C'était la première fois que je prenais l'avion, le confort n'était pas celui qu'on a maintenant, mais il suffisait à trois gars comme nous. Un verre à la main, Grégory, s'était penché vers moi pour me demander comment je vivais maintenant, si tout c'était arrangé. Il savait que rien n'avait changé, que rien ne changerai avant la fin de cette mission. Il me riait presque au nez et je lui en voulais pour ça. Sans lui. Sans lui, j'aurais pu vivre mieux, moins caché. Sans lui, j'aurais pu vivre une vie normale, mais sans lui, je n'aurais pas cette chance de gagner cet argent dont j'avais besoin maintenant. À part ce petit interlude, tout le reste du voyage se passa dans une humeur presque massacrante. Deux verres de whisky plus tard, nous étions arrivés.

Lorsque nous avons atterris dans l'aéroport du groupe Kazémaru, on nous a accueilli avec des armes et une dizaine de garde du corps. On nous a ensuite fouillé rapidement et on a pu entrer. Le grand hangar proche de l'aire d'atterrissage servait de centre des opérations. Notre QG du moment était déjà bien remplis. Il y avait plusieurs bureaux avec divers appareils dessus. Une rangée de bureaux était pleine d'ordinateurs reliés à eux par d'interminables fil. Chaque ordinateur avait une personne dessus et on entendait pianoter en permanence.

On nous avait conduis au centre de ce grand hangar. Là, il y avait plusieurs hommes habillés en noir, pas en costume, mais des habits qu'on utilise pour l'infiltration, vous voyez le genre ? Ils étaient en cercle et écoutaient un homme, au centre. C'était un homme de petite stature mais duquel émanait une sorte d'aura, une aura qu'ont ceux qui force le respect. Je n'arrive pas à trouver les bons mots pour le décrire. C'était un bonhomme, un vrai.

C'était lui le chef de la brigade. C'était lui le chef des opérations. C'était lui qui commandait. Il nous fit alors un briefing très complet. On avait même des cartes personnalisées avec nos parcours personnel et diverses informations sur l'intérieur du bâtiment à infiltrer. Ce n'était réellement pas une mission banale.

Après le briefing général, on fut séparé en trois groupes. Mes deux compères furent dans une autre équipe que la mienne. En tout, je crois qu'on était neuf ou dix. Chaque escouade avait un commandant et avait des spécialistes dans les domaines utiles une fois à l'intérieur.

Becker, Reaver, Gregory, Butch ! Venez ici !

C'était la première équipe. Les quatre hommes entrèrent dans une pièce et y eurent leur second briefing, plus complet. Becker était un blond, massif et avait un accent du Nord, c'était un homme assez intelligent et avait compris que Gregory était un confident. Reaver et Gregory étaient tout deux des Américains de bases, bourrins plus que stratège. Butch, ancien membre de famille riche, avait tous laissé tomber pour partir à l'aventure, et le voici avec nous. Je n'eu que très peu d'informations sur leurs objectifs, mais si je me rappelle bien, ils ne sont pas entrés dans l'entrepôt.

Une demie heure plus tard, ce fut le tour de Carlos, un homme avec un peu d'embonpoint, mais qui était tout aussi agile qu'un homme normal, voir plus. Bien sûr, je ne pense pas qu'il aurait pu passer dans les conduits d'aération. L'autre homme qui faisait partie de l'équipe deux était un homme, noir de peau, assez musclé et avec deux katanas comme seules armes. Le dernier de cette équipe était le chef, le petit homme. Lui, avait des armes à feu. Ils firent un rapide briefing, puis ce fut notre tour.

J'étais avec deux hommes lorsqu'on nous a appelé. Un français du nom de Serge. Je parlais avec lui en sa langue natale, j'ai vécu dix ans la-bas. Un expert dans l'utilisation d'explosif et d'arme à feu. Il se disait lui-même fils de C4. L'autre, Peter, qui parlait bien l'anglais quoiqu'avec un léger accent que je ne pouvais décrire avant qu'il ne me le dise. Il était irlandais. Son passe-temps, reconfigurer tous les appareils qu'il croisait. C'était notre spécialiste, dans le terrain, de tout ce qui touchait à l'informatique, électrique ou électronique. Au début, je pensais qu'on ne serait que tous les trois et que Serge serait le chef d'équipe, mais je me trompais. Le chef d'équipe était un allemand, le plus grand des Allemands que j'avais jamais vu. Il devait faire deux mètres trente. À vrai dire, c'est lui qui m'a donné l'idée de la technique d'Oz. C'était plus un guerrier qu'autre chose, c'est lui qui ouvrirait la route.

Une fois l'explication de nos objectifs par le chef terminée, nous avons été rassemblé tous ensemble. Le petit homme nous a alors fait un petit spitch du genre qu'on risquait de ne pas revenir de l'intérieur si on ne suivait pas correctement les ordres et tout et tout. Mais ça, tous le monde s'en doutait, sinon pourquoi avoir fait tant de préparatifs si ce n'est pour faire un suicide de masse. Et bien me direz vous, rien d'autre. Et c'était réellement la mort qui nous attendait. Enfin pas vraiment, mais une armée privée prête à subir un siège d'une semaine au moins. Des caméras de surveillance dans tous les coins. Une vrai fourmillière mafieuse.

Je n'avais pas l'habitude d'avoir un plan détaillé en tête pour réaliser une mission. D'habitude, j'avais qu'un seul objectif, clair et précis. Là, il fallait, non seulement suivre le plan à la lettre, mais aussi réussir à chaque fois. Aucune marge n'était possible. On avait tous une montre à la même heure, exactement, pour coordonner nos mouvements. Donc on était fin prêt. Les trois équipes se préparèrent.

Le premier objectif de l'équipe deux et la mienne était d'entrer dans le bâtiment et récupérer les plans. L'objectif principal de l'autre équipe était de nous faciliter la tâche.

04:36:24

Nous étions fin prêts, tous les membres des deux équipes se trouvaient autour de moi. Ce n'est pas que j'avais un rôle très important au début, mais j'étais quand même au centre de la formation. On entrerait à cinq heures moins dix et quelques secondes. L'heure fatidique approchait. Nous n'avions que quelques instants pour surprendre les gardes du rez-de-chaussez et faire le minimum de vague. Lorsque l'heure précise arriverait, nous avions pour ordres d'entrer et de tuer tout les gardes présents, brancher un émetteur sur les talky-walky qu'il portait et rentrer dans l'ascenseur. Tout ça, en moins de deux minutes trente. Il nous a quand même fallu patienter environ dix minutes avant que l'heure H ne soit...

04:44:38

L'heure tant attendue arriva. Le tit tit de toutes les montres sonnèrent ensemble, mais tout le monde avait prévu cette éventualité, et au moment où elles ont émis ce son, tout le monde étaient déjà en train de rentrer dans le bâtiment. Au même moment, quoiqu'un peu avant, une seconde, toute l'électricité du bâtiment disparut. Le noir fut complet à l'intérieur, et les balles fusèrent. Bien sûr, nous avions des silencieux sur nos armes et le temps que les derniers ennemis survivants réagissent, cela faisait déjà trente secondes qu'on était entré. Lorsqu'ils ont compris qu'on était là, l'un deux tenta d'appeler quelqu'un, mais lorsqu'il bougea son bras, ce n'est que le katana de Kevin qu'il rencontra. Il fut privé de son bras au niveau du coude, puis ce fut le tour d'un autre membre, plus important. Le dernier garde ne tarda pas à se faire avoir non plus.

Lorsque le hall principal fut dégagé, Peter s'occupa des caméras. Il brancha un petit appareil qui permettait de les relier directement au centre des opérations. Là-bas, l'image serait changée par des images de synthèses mimant divers mouvements des gardes selon leur réaction sauvegardés dans les caméras. De la technologie qui me dépassait. Tout le monde s'est ensuite dirigé vers l'ascenseur, même s'il ne restait que quelques secondes, personne n'a vraiment perdu son sang froid, tout s'était passé pour le mieux. Maintenant, il fallait descendre et continuer.

04:46:52

Les portes de l'ascenseur se sont fermées et nous sommes descendus, ce fut alors mon tour d'entrer en action. Combinant les paroles que j'entendais dans une oreille et mes illusions, on devait, avec le centre opérationnel, faire croire aux ennemis que c'était les gardes d'en haut qui descendaient pour vérifier comment ça se passait. Je devais créer l'illusion, au travers de la caméra, qu'on était les gardes et que je parlais dans mon talky-walky pendant que quelqu'un d'autre parlait via les vrais talky-walky. Une synchronisation qu'on avait étudiée une demi-heure plus tôt.

Après ça, j'ai l'impression que la descente fut très longue, vraiment très longue. Peut être plus que l'attente qu'on a dû faire devant les portes du bâtiment. Si je me rappelle bien, nous sommes allés jusqu'au sous-sol numéro quatre, pour nous séparer du chef, Kevin et Carlos. Nous quatre sommes remontés au deuxième sous sol et sommes arrivés dans le grand couloir...





La fin de tous


Nuit du 9 Novembre 19xx :




04:51:03

La mission avait débuté depuis maintenant plus de cinq minutes. Toutes les équipes faisaient face à leur plus grand défi. Chacune d'elle avait un objectif bien précis qu'elle devait réussir dans le temps imparti. Ainsi, le Chef, Kevin et Carlos se sont retrouvés dans le quatrième sous sol avec pour objectif d'atteindre les plans. L'équipe de Becker, Reaver, Gregory et Butch étaient d'entrer dans le bâtiment, maintenant que les caméras étaient sous leurs contrôles. C'était l'équipe de soutien sur le terrain. La dernière équipe n'avait qu'un rôle d'appât, peut être pas le plus important, ni le plus dangereux, mais il fallait passer par là pour réussir la mission.

Les quatre hommes qui composaient cette équipe étaient fin prêts à entrer en action. Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et laissait entrevoir de plus en plus un long couloir. Le premier à sortir fut l'Allemand, son arme à la main. Il se glissa directement contre le mur, ils étaient tout de même déjà repéré par les caméras, mais c'était prévu. Le temps que le second ait pu sortir, l'alarme se déclencha. Un bruit strident et des lumières rouges composaient cet évènement.

Un peu plus bas, au moment où l'alarme retentit, les trois hommes arrivaient au coffre fort. Ils avaient tué deux gardes qui surveillaient cet endroit. Ce fut rapide, une balle par personne lorsqu'ils sont entrés. Ils avaient aussi eu à traverser un couloir, certes beaucoup moins long que celui du deuxième sous sol. Carlos faisait les préparatifs pour faire péter la porte blindée, il les avait disposés sur les gongs, de bons gros gongs. Ils quittèrent la pièce et firent tout péter. Revenant dans la salle, ils purent voir le premier contretemps apparaitre, la porte avait tenue, et pour cause, c'était pas une simple porte. Ils durent s'y prendre à trois fois avant de faire exploser le premier gong et le second tint deux explosions de plus. Ils avaient perdu plus de cinq minutes rien que pour ouvrir cette satané porte. Cinq minutes de trop.

Pendant ce temps, dehors, les gardes qui surveillaient l'extérieur commençaient à rentrer pour voir ce qu'il se passait. Ils furent surpris lorsque le premier à rentrer fut tué d'une balle en plein coeur et une autre à la place de l'oeil. Le combat pour le contrôle du hall principal avait commencé.

Revenons à l'équipe de Firo, au deuxième sous sol. Les gardes affluaient en provenance d'on ne sait où. Il avait été prévue qu'il en viendrait plusieurs, mais pas par dizaines et pas aussi armé. Une seule solution, ils avaient été avertis. La bataille de cette équipe venait de débuter aussi. Tenir la position de l'ascenseur était difficile. Il fallait que l'ascenseur reste sous leur contrôle le temps que la seconde équipe récupèrent les plans. S'ils y étaient toujours. Deux coins deux murs protéger l'allemand et Serge. Les deux autres, Peter et Firo étaient restés dans l'ascenseur, protégé par les deux bords des portes. Les balles fusaient dans les deux sens et sifflaient aux oreilles des appâts. Ils devaient tenir encore un peu. Le temps aurait dû varier entre deux et trois minutes, mais cela faisait déjà plus de cinq minutes qu'ils étaient là, perdant de plus en plus de munitions et de terrain. "C'est bon ! On les a !" La délivrance arriva au groupe sur les mots qui sont sortis des talky-walky. Il fallait partir, maintenant.

Dans chaque étage, il y avait deux ascenseurs, l'un à côté de l'autre. L'équipe de Firo les avait bloqués au deuxième étage, mais ne pouvait pas les garder ainsi que s'ils étaient dans cet étage, ou à l'intérieur d'eux. "Allez-y ! lança l'allemand. On s'occupe d'eux." C'était la première fois qu'il parlait depuis le début de la mission. Lorsqu'il avait dit ça, il regardait les deux hommes dans l'ascenseur. Serge avait été blessé et était assis le dos contre le mur. "Allez-y et récupérez ces plans de merde. Fit Serge. Allez ! Dépêchez vous, on les retiendra pas longtemps. Vite

-Oui, répondit Peter en appuyant sur le bouton de l'étage d'en dessous. On revient." Les portes de l'ascenseur se refermèrent sur le couloir face aux deux hommes enfin libérer de la fusillade.

En haut, les quatre hommes commençaient à éprouver des difficultés à empêcher les gardes d'entrer, mais tenaient bon. Pour le moment.



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